Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
21 septembre 2014 7 21 /09 /septembre /2014 13:46

Image1Et si vous deveniez acteur de votre logement ?

 

Locataires de Côtes d’Armor Habitat

contactez sans tarder la CLCV pour poser votre candidature

 

  La prochaine élection aura lieu en novembre

Clôture du scrutin mardi 18 novembre

Reconnue comme association nationale représentative des locataires, la CLCV compte pus de 420 administrateurs locataire. Elus tous les 4 ans par les locataires, ils défendent leurs intérêts au sein des conseils d’administration des organismes HLM. Votez CLCV.

 

  Pour qui voter à ces élections

   Pour un locataire comme vous, qui vit et connais les mêmes problèmes du quotidien et qui vous

   représentera face au bailleur. Votez CLCV

 

Pourquoi voter à ces élections ?

Plus la personne élue aura recueilli de voix, plus elle aura de poids et plus ses propositions pour la défense des locataires seront prises en compte. Votez CLCV.

 

  Devenez adhérent et représentez la CLCV

Avec le soutien et l’aide de la CLCV, vous aussi devenez administrateur et défendez vos intérêts de locataire, soyez également acteur des décisions concernant les travaux, l’entretien et la gestion de votre logement.

Votez et faites voter CLCV.

 

ENSEMBLE trouvons les bonnes solutions et participons à l’amélioration de notre habitat

VOTEZ POUR CLCV

Sans rature, ni signe distinctif

 

ATTENTION !

Faites connaître votre candidature à la CLCV

Le MERCREDI 24 SEPTEMBRE au plus tard

 

 

Adressez vos candidatures à

CLCV  5 rue De Broglie- - 22300 - LANNION

Association nationale de défense des consommateurs, des Locataires, des Usager et du Cadre de Vie

Tél.02 96 48 07 46 en cas d’urgence 06 68 08 21 52

Email: tregor-goelo@clcv.org  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
17 septembre 2014 3 17 /09 /septembre /2014 22:14

Si vous êtes locataires chez le bailleur COTES DARMOR HABITAT,  vous pouvez vous présenter sur une liste CLCV pour devenir administrateur locataire.


Si vous êtes élu, lors des élections qui se tiendront avant la fin de l’année 2014, vous représenterez les locataires dans le conseil d’administration de votre bailleur, pour 4 ans.


Vous pourrez ainsi peser sur les décisions qui y sont prises, tenter de limiter les hausses de loyers, proposer la réalisation de travaux pour rendre les logements plus confortables … Vous défendrez les intérêts des locataires (et donc les vôtres) et faire entendre leur voix.


Cette fonction vous tente, sachez aussi que vous ne serez pas seul pour la mener à bien. La CLCV vous épaulera, vous aidera à préparer les conseils d’administration, vous proposera des formations.


Locataires, de Côtes d’Armor Habitat, vous souhaitez essayer… dès maintenant contactez-nous !

  • Par email à tregor-goelo@clcv.org  en précisant : nom, prénom, adresse, sans oublier le nom de votre résidence. 
  • Ou, par téléphone au : 06 68 08 21 52

admin-loc

Partager cet article
Repost0
3 septembre 2014 3 03 /09 /septembre /2014 17:11

1984020 13897530-plouaretgare-20130126-l131dLa CLCV a interrogé les usagers sur le coût et sur la qualité de leurs transports en commun et notamment du TGV.

La CLCV rend public ce jour son enquête de satisfaction réalisée auprès de plus de 800 voyageurs.

Pour la 4ème année consécutive, nos bénévoles ont interrogé les usagers en face à face durant leur trajet pour recueillir leur avis sur le coût et sur la qualité de leurs transports en commun et notamment du TGV. Les 802 réponses obtenues permettent de dégager un ressenti intéressant face à un service souvent indispensable et qui représente un part grandissante dans un budget.

On relève notamment que :

L’important c’est la baisse des prix.

Nous avons demandé aux voyageurs quelles améliorations ils attendaient le plus, la baisse des prix est en tête à 54,83%. Arrivent ensuite la ponctualité (20,56%) et la fréquence (10,12%). La transparence des tarifs (9,35%) et le confort (5,14%) semblent moins prioritaires.

Par ailleurs 4 personnes interrogées sur 5 jugent  assez cher » ou « trop cher » le prix des transports (80,1%). Le prix des transports par rapport à la prestation délivrée n’est pas justifié pour 48,4% et justifié pour seulement 35% (Nsp : 16,6%). Des pistes sont à l’étude pour baisser le prix des billets, nous resterons vigilants face à un risque de dégradation du service. 

Améliorer l’indemnisation des retards 

Si 40,13% des voyageurs subissent souvent des retards, l’indemnisation est très loin d’être la règle. Des compensations insuffisantes et sous conditions existent pour les TGV et Intercités mais rien pour des transports aussi communs que les TER, Métro et RER. Pour plus de 63% du panel, un retard doit être indemnisé dès 15 minutes pour tout transport. Au-delà du remboursement d’une partie du billet, nous réclamons la prise en charge des préjudices particuliers dus à ces manques de ponctualité (réunion manquée, ...)

Un bon point : l’accueil en gare

Devant ce constant assez critique des usagers, on relèvera un résultat plutôt positif bien que perfectible : l’accueil en gare ou station est qualifié de bon à 48,7%. 

L'enquête détaillée de la CLCV 


Partager cet article
Repost0
1 juillet 2014 2 01 /07 /juillet /2014 16:21

c7fe4006e8f3746eeabdbbbd7b340ce6 XL

La CLCV permet à ses adhérents de bénéficier d'une prime Certificats d’Economies d’Energie pour vos futurs travaux privatifs en partenariat avec Partager La Croissance (PLC). Ce financement est de l'unique responsabilité de PLC.

La simulation de la Prime Cash Energie doit précéder l'engagement des travaux de rénovation: la date de signature du devis doit être comprise entre la confirmation de lecture de l'email reçu au moment de la simulation et la date de facture.

Seule la validation par PLC et le Pôle National des CEE de votre dossier donne droit au versement de la prime CEE.

 

Pour lire la suite de la présentation cliquez sur ce lien

 

Vous trouverez en cliquant sur ce lien l'offre en détail

 

 


Partager cet article
Repost0
1 juillet 2014 2 01 /07 /juillet /2014 15:54

Entre novembre et décembre 2014, les locataires voteront pour élire les représentants des locataires au conseil d'administration de leur organisme d'HLM.

Etre représentant de locataires c’est :

-       Défendre lesdroits des locataires et améliorer les services,

  Faciliter vos démarches face au bailleur,

-       Tout savoirsur la gestion de votre organisme,

-       Echanger avec les autres représentants de locataires au sein de la CLCV.

admin-loc 

La CLCV recrute des locataires qui veulent devenir administrateur. Les HLM concernés sont :

 

  •      CÔTES D'ARMOR HABITAT,
  •      DINAN CODI HABITAT, 
  •      GUINGAMP HABITAT, 
  •      TERRE ET BAIE HABITAT,
  •      BSB (BÂTIMENTS STYLES DE BRETAGNE),
  •      ARMORIQUE HABITAT.

 

Faites-vous connaitre ou posez vos candidatures à :

 CLCV,  5, rue De Broglie 22300 LANNION ou par mail : tregor-goelo@clcv.org

 


Partager cet article
Repost0
5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 18:28

banques.jpgPour ce palmarès 2014, la CLCV et Mieux Vivre Votre Argent ont passé en revue les tarifs applicables au 1er février 2014 dans 135 établissements, soit la quasi-totalité de la banque de détail en métropole et outre-mer.


La facture annuelle des frais est calculée, pour trois profils types de consommateurs, selon les deux modes tarifaires proposés: prix des services à l’unité et facturation au forfait dans le cadre des packages.


Premier constat, les écarts de prix sont toujours aussi importants. En métropole, en retenant la formule la moins chère, selon l’établissement choisi, notre « petit consommateur » de services pourra payer jusqu’à 179% de plus pour bénéficier exactement des mêmes services. Ces écarts, même s’ils sont moindres, atteignent pour autant 71 % et 72 % pour notre « consommateur moyen » et pour notre « gros consommateur » de services.


La comparaison s’avère donc fort utile ! Et elle ne doit pas s’arrêter là car il convient aussi d’être vigilant pour choisir, au sein d’un même établissement, l’option la plus avantageuse entre la souscription à l’unité des produits ou le package proposé. Hors banques à distance, le package ne présente ainsi d’intérêt que dans 19 établissements pour notre « petit consommateur ». Il devient plus fréquemment intéressant pour « notre consommateur moyen », dans 57 % des cas, et pour notre « gros consommateur » de services, dans 63% des banques qui en commercialisent.


Enfin, en retenant les prix « à la carte », hors banques en ligne, la majorité des clients des banques analysées devront payer plus qu’en 2013. Le coût de notre panier de services est ainsi en augmentation dans 67% des banques pour notre « petit consommateur ». Cette hausse se retrouve dans 66% des établissements pour notre « consommateur moyen » et dans 69 % d’entre eux pour « notre gros consommateur ».

 

Retrouvez les résultats de l'enquête pour la Région Bretagne en cliquant sur ce lien

Partager cet article
Repost0
6 novembre 2013 3 06 /11 /novembre /2013 16:54

visuel-carouselle-quoi-sert-une-banque.jpg

 

Ouverture d’un compte, changement de tarifs, frais…  nos experts répondent à vos questions.

Avec l’adoption de la loi sur la séparation bancaire en juillet 2013, certaines règles ont changé, notamment en ce qui concerne les frais pour incident de paiement ou l’information qui doit être donnée par la banque à ses clients.  Voici, sous forme de questions-réponses, toutes les informations pratiques à connaître dans votre relation au quotidien avec votre banque.

Une banque peut-elle refuser d’ouvrir un compte ?

Si une banque a le droit de refuser d’ouvrir un compte, elle doit en revanche vous informer de l’existence de la « procédure de droit au compte ». Cette procédure permet d’obtenir de la Banque de France qu’elle désigne un établissement auprès duquel vous pourrez détenir un compte.

 

Cliquez ici pour lire la suite

 


Partager cet article
Repost0
28 juin 2013 5 28 /06 /juin /2013 21:15

580 €. C’est le montant des frais pouvant être réclamés, en toute illégalité, par des agences immobilières auprès d’un locataire sur une période de cinq ans[1] : facturation de la quittance, frais de relance, de clôture des comptes, d’archivage… C’est pourquoi nous ne pouvons que nous réjouir des annonces
de la ministre du Logement.

 

En effet, il est temps d’assainir réellement cette profession qui a montré son incapacité à s’autoréguler et à faire le ménage parmi ses membres, contrairement à ce qu’elle indique depuis de nombreuses années. Certes, les différents abus que l’on peut constater ne sont pas imputables à l’ensemble de la profession, mais ils n’en sont pas moins intolérables. C’est pourquoi la création d’instances spécifiques chargées de contrôler les activités des professionnels de l’immobilier et, le cas échéant, de les sanctionner, est plus qu’un besoin, c’est une nécessité. C’est d’ailleurs pour cela que nous en demandons la création depuis maintenant plusieurs années. Bien évidemment, les représentants des consommateurs devront y avoir une place, sans quoi, ces commissions perdraient toute crédibilité.

 

Concernant l’encadrement des honoraires, tant en matière locative qu’en copropriété, nous pensons qu’il s’agit d’une mesure qui améliorera la transparence dans les relations professionnel-consommateur et qui mettra fin à de nombreux abus et désagréments : honoraires de location exorbitants, liste non limitative de prestations exceptionnelles en copropriété, difficulté de comparer plusieurs contrats de syndics…

 

Finalement, le projet de loi en cours d’élaboration et qui devrait être présenté dans les jours à venir, semble, du moins sur ces sujets, aller dans le bon sens. Loin de « dégoûter les propriétaires », comme d’aucuns le pensent, ce texte permettra, au contraire, de rétablir la confiance entre le consommateur et les professionnels, lesquels n’ont pas su démontrer qu’ils pouvaient apporter une réelle plus-value.

 

Nous espérons que ce projet de loi puisse être soumis rapidement au Parlement et ne manquerons pas de porter auprès du législateur nos remarques et observations.

 

Partager cet article
Repost0
12 avril 2013 5 12 /04 /avril /2013 08:51

stopBPAjpg.jpgAprès trois années de travail, l’Anses vient de publier un avis important sur les risques liés au Bisphénol A (BPA). Rappelons que le BPA est à la base de la fabrication du polycarbonate, un plastique employé dans de nombreux objets de la vie courante (CD, lunettes, pièces auto) mais aussi dans des emballages alimentaires : biberons, bouilloires, bonbonnes d’eau, revêtement intérieur de certaines boîtes de conserve ou canettes.

 

Le travail de l’agence s’est focalisé sur les enfants à naître, faute de données toxicologiques suffisantes sur les autres catégories de la population. Il apparaît que l’exposition des fœtus au BPA pourrait avoir des conséquences à long terme sur divers organes ou fonctions biologiques. Les experts ont qualifié de « négligeables » les risques pour le cerveau, l’appareil reproducteur femelle ou le métabolisme. En revanche, ils soulignent un risque sur le développement ultérieur de cancer du sein. Ce résultat n’est certes pas démontré de façon incontestable mais il présente un niveau de confiance qu’une majorité des experts a qualifié de « modéré ».

 

L’Anses a également quantifié les principales sources d’exposition au BPA, confirmant le rôle majoritaire de l’alimentation (84% de l’exposition pour la femme enceinte) devant les voies respiratoires et cutanées. Avec 50% de l’exposition totale, les aliments en conserve apparaissent comme des contributeurs majeurs. Il est par ailleurs préoccupant de constater qu’il existerait une contamination large des aliments dont l’origine est non identifiée mais qui contribuerait à 25% voire 30 % de l’exposition totale

 

Ce nouvel avis vient confirmer la nécessité de réduire l’exposition de la population au BPA, nécessité qui s’est traduite en France par l’adoption d’une loi interdisant ce matériau dans les emballages alimentaires à compter du 1er janvier 2015. Compte tenu de la nouvelle évaluation réalisée par l’Anses, cette échéance est pour la CLCV trop tardive et nous demandons aux parlementaires et au gouvernement de la ramener au 1er janvier 2014.

 

D’ici là, la CLCV appelle les professionnels et les pouvoirs publics à se mobiliser pour développer des alternatives fiables et correctement évaluées au BPA. A cet égard, le remplacement dans les tickets de caisse du BPA par le BPS, qui présente des caractéristiques chimiques très voisines, est l’exemple même à ne pas suivre. Nous demandons également un étiquetage des produits alimentaires contenant du BPA afin d’assurer l’information des consommateurs. Enfin, compte tenu des échanges de produits alimentaires au sein de l’Union européenne, il est indispensable de travailler à une harmonisation communautaire de l’évaluation et des règles encadrant cette substance.


Dossier suivi par Charles Pernin


Partager cet article
Repost0
4 avril 2013 4 04 /04 /avril /2013 11:22

Charles PERNIN, chargé de mission à la CLCV, nous informe :

 

La CLCV vient de porter plainte contre X auprès du Parquet de Paris dans l’affaire de la viande de cheval.


Ce scandale d’une ampleur sans précédent où se mêlent pratiques frauduleuses et négligences multiples ne doit évidemment pas en rester là.


En tant que représentant des consommateurs, nous demandons à la justice de faire toute la lumière sur les responsabilités des uns et des autres et de prendre les sanctions qui s’imposent.

 

Mais l’action de la justice ne règlera pas tout et il importe d’éviter que ce scandale ne soit vu simplement comme « une crise de plus » par les professionnels et les pouvoirs publics.

 

Pour cela, il convient d’en tirer les enseignements et de faire évoluer les pratiques en profondeur.

 

C’est pourquoi nous demandons :

 

-      Un étiquetage de l’origine nationale des ingrédients « principaux » des produits transformés (1) ;

 

-      Un audit indépendant des systèmes de contrôle en Europe ;

 

-      Un renforcement des contrôles officiels et, en tout état de cause, un coup d’arrêt aux politiques qui visent à déléguer les tâches d’inspection officielle aux professionnels eux-mêmes ;

 

-      Un renforcement des sanctions en cas de fraude et une publicité de ces sanctions ;

 

-      La mise en place d’indicateurs fiables, exhaustifs et transparents sur la pression de contrôle dans le secteur agroalimentaire.

 

L’enjeu est de taille car cette affaire n’est pas un cas isolé.
Les récentes révélations sur la viande de mouton non conforme ou les cas de remballe n’ont fait que saper davantage la crédibilité de tout un secteur.


Sans un effort réel de transparence, les filières agroalimentaires ne parviendront pas à regagner la confiance des consommateurs.


 

 

(1) On entend par ingrédients principaux ceux qui sont mis en avant sur le produit (ex : lasagnes à la viande de boeuf) et/ou ceux dont les proportions cumulées représentent 50% du poids du produit.



 

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog de la clcv des côtes d'armor
  • : Blog de la CLCV (consommation logement et cadre de vie) des Côtes d' Armor
  • Contact

Recherche

Thèmes